Pigeon ramier
Columba palumbus Linnaeus, 1758
Chargement...
- 28 observations
-
1
commune -
3
observateurs -
Première observation
2020 -
Dernière observation
2022
Corjon Jonathan
-
Hiroux Alan
-
Holé Adélaïde
Informations espèce
DIAGNOSE
FACILITE D’IDENTIFICATION
Moyennement difficile.
CONFUSIONS POSSIBLES
Dans des conditions d’observation difficiles, la confusion est possible avec les autres espèces de pigeons.
RÉPARTITION GÉNÉRALE
HABITAT ET BIOLOGIE
Longueur 45 cm ; Envergure jusqu’à 80 cm.
Chez cette grande espèce de pigeon, il n’y a pas de dimorphisme sexuel. La coloration générale du plumage varie de gris à gris-bleu sur la tête et les parties supérieures. La poitrine est largement lavée de rose (mauve). Les rémiges sont plus foncées et les rectrices se terminent par une large bande sombre. Les ailes présentent un croissant blanc bien visible en vol. Le coté du cou des adultes est orné d’une tache blanche surmontée d’une tache verte. L’iris est jaune pâle. La coloration du bec et des pattes se renforce avec l’âge du sujet.
FACILITE D’IDENTIFICATION
Moyennement difficile.
CONFUSIONS POSSIBLES
Dans des conditions d’observation difficiles, la confusion est possible avec les autres espèces de pigeons.
RÉPARTITION GÉNÉRALE
Espèce eurasiatique, répandue et commune en Europe et plus largement dans le paléarctique occidental. Vers l’Est, sa répartition est fragmentée et on l’observe jusqu’au Népal.
HABITAT ET BIOLOGIE
Le Pigeon Ramier est observable toute l’année dans l’ouest et le sud de son aire de répartition. Il occupe les régions boisées et il est moins fréquent en altitude. Au printemps, les mâles paradent lors de vols présentant une ascension quasi verticale suivie d’une descente planée entrecoupée de forts battements d’ailes. Le nid, généralement construit sur une fourche d’arbre à quelques mètres du sol, est composé de brindilles. L’espèce peut également nicher au sol dans des fourrés denses. Une à trois couvées de deux poussins sont élevées entre avril et septembre. Son alimentation se compose principalement de végétaux (baies, feuilles, graines, racines….) mais il consomme aussi occasionnellement divers invertébrés. Les populations septentrionales et orientales de ce migrateur partiel se déplacent plus au sud et à l’ouest vers leurs zones d’hivernage, les rassemblements en vol pouvant compter plusieurs dizaines de milliers d’individus.
Non renseigné pour le moment
Non renseigné pour le moment
Pas de synonymes pour ce taxon